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Les rencontres

JANETTE Odette

avec MUAMBA Valentin

 

Cette photo représente Sœur Emmanuelle, cela montre le don de soi, de son temps et de sa personne pour aider les autres. Cette photo provoque donc le Respect pour cette personne.

Marie-Therese GARRIGUES

avec Maxime LASCROUX

et Dorian CASSAGNES

 

Cette photographie représente Soeur Emmanuelle tendant les mains toute souriante à un enfant pauvre dans un bidonville d'Egypte. A l'arrière, on distingue un amas de décombres indiquant une très grande pauvreté.

Soeur Emmanuelle

Euphrasie TEIL

avec Astride MATEO et Lucie SOUK-ALOUN

 

Soeur Emmanuelle est ici au Mali, dans un bidonville ou une décharge. On voit ici que c'est un pays pauvre. Cela lui rappelle la Côte d'Ivoire en Afrique. Le climat est plus propice à la végétation en Côte d'Ivoire, alors que sur cette photo on ne voit pas une seule plante. Euphrasie est allée en Côte d'Ivoire, elle avait aux alentours de 58 ans. Elle a enseigné dans un centre ménager la puériculture, l'hygiène, la couture. Elle faisait l'animation paroissiale et faisait la catéchèse. Cela lui rappelle aussi les villages dans la brousse où elle est allée. Quand elle arrivait dans le village en voiture, les enfants accouraient vers elle, ils étaient habillés un peu comme la petite fille sur la photo. Un seul vêtement était assez suffisant, et même trop chaud et il n'y avait pas besoin d'avoir des manches longues.

Yvonne David

avec Tifany Doumayzel

et Turlan Marie

 

Sœur Emmanuelle est une femme que j'ai connue lorsque j'étais à Creissels (nous étions quatre religieuses). Les sœurs de Millau s'occupaient souvent d'elle et la recevaient quand elle venait en vacances. Elles soutenaient son action au Mali où sœur Emmanuelle y travaillait depuis longtemps. Elle nous avait même dédicacé un livre qu'elle avait écrit il y a quelques années, je l'ai toujours et je le garde précieusement. Quand j'étais jeune, notre voisine, très gentille, m'apportait une tartine quand je gardais les vaches devant chez elle. Elle pensait que je n'avais pas assez mangé pourtant chez moi, bien que nombreux, nous avions toujours ce qu'il fallait et nous étions même un peu gâtés au moment des fêtes. On m'a parlé de Dieu très jeune, pas directement, mais ma grand-mère et mes parents étaient très pratiquants. J'ai été dans des écoles avec des sœurs qui nous prenaient souvent à la messe. J'ai pensé à la vie religieuse, en partie, parce que je voyais des jeunes sœurs autour du lavoir qui riaient et paraissaient très heureuses. De plus, quand j'ai fait mon noviciat (1948-52), notre maîtresse, une femme intelligente et très cultivée, nous recevait chez elle et nous écoutait avant de nous donner quelques conseils. J'ai eu quelques amourettes, en revenant de la messe, un jeune m'accompagnait pas très loin de chez moi mais il ne se faisait pas voir à mes parents. Ils auraient pu me reprocher de m'être laissé accompagner par un jeune à peu près de mon âge. Je n'ai jamais eu l'idée de me marier car je voulais être religieuse.

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