L'enfance
André Kertesz (1894-1985)
Yvonne le gouic
avec Simon GARRIC et Valentin MUAMBA
Cette photographie nous évoque la tendresse et la douceur de l'enfance représentée par l'agneau. Elle représente aussi la joie et la gaité de cette pértiode. La complicité que l'on peut avoir avec les animaux. Cela rappelle les amis d'Yvonne qu'elle avait dans son enfance, ils étaient trois enfants : deux filles et un garçon, elle jouait avec des boîtes de conserve en tout genre, à la marelle ou bien encore à la dinette. Cela lui rappelle ses trois poupées et un yoyo. Ses grands parents avaient 200 brebis qu'elle gardait par moment pendant les vacances. Elle aidait beaucoup ses parents et ne faisait pas que s'amuser.
Marie-Therese GARRIGUES
avec Maxime LASCROUX et Dorian CASSAGNES
Cette photographie me fait penser à la campagne de mon enfance où mon frère gardait les moutons de mon grand-père. Un jour qu'il s'amusait avec le bélier, celui-ci l'a poursuivi et il dut faire appel au voisin. Ensuite le voisin maîtrisa le bélier.
A l'époque, je jouais avec des jouets en bois, des billes, les toupies et les boîtes de sardines.
Cette photographie m'évoque les moments de détente que l'on peut avoir à la campagne.
Cette photographie m'évoque les vacances chez mes grands-parents qui eux-mêmes possèdent des moutons.
Maryse valette
avec Amandine Chloup et Anceline Brioudes
C'est cette photographie qui me rappelle les meilleurs moments de mon enfance. En 1940, durant la guerre j'ai été envoyée à la campagne chez ma grand mère pour conserver ma vie et mon insouciance. Cette photo me rappelle joie que me procurait la nature avec les animaux, mes meilleurs amis. Je passais le plus de temps possible dans la nature avec ma grand-mère pour ramasser herbes et autres glanages céréales. J'aimais passer mon temps libre à courir dans la forêt, pour y voir d'autres animaux et connaître les multiples variétés d’arbres. J'exaltais de joie de vivre. Cette photo fait référence à un mouton fugueur connu de tout le village. Il y avait aussi une histoire qui avait une allure de mythe pour les villageois, une vache qui a protégé une fillette d'un troupeau, en faisant barrière de son corps. Cette aventure est considérée comme un miracle. Je jouais souvent avec mon petit voisin d'en face, qui me faisait plus souvent pleurer que rire !?! Il se moquait de ma blancheur de peau qui facilitait les taches de rousseur au premier rayon de soleil. « Maryse t'a vu le soleil à travers une passoire ».